Ressources Humaines

Il y a quelques années, j’ai eu un entretien avec une assistante du service RH de mon entreprise. Voici la version romancée du fantasme que j’ai eu à l’époque.

A l’époque, je travaillais pour une grande entreprise en tant que technicien, au service informatique. C’était mon premier emploi, un CDI que j’avais réussi à dénicher malgré mon manque d’expérience. 

Au bout d’un an et demi au même poste, je commençais à sentir que ce poste, en dehors de la sécurité qu’il m’offrait, était loin d’être idéal. Mon salaire était plus bas que celui de mes camarades de promo et mon supérieur hiérarchique m’imposait un stress qui nuisait à mon bien-être. 

Pour ne rien aider, j’étais à l’époque seul à un poste qui exigeait au moins deux personnes. Malheureusement, à l’époque, nous étions au tout début de la crise financières de 2008, et le mot d’ordre était « Plus aucune embauche, plus aucune augmentation ». 

Aussi, lorsque je reçus dans ma boite mail un courrier d’un chasseur de tête, demandant à me rencontrer pour un poste qui pourrait m’intéresser, je n’eus aucune seconde d’hésitation. 

Quelques semaines et une demi douzaine d’entretiens plus tard, je déposais ma lettre de démission sur le bureau de mon patron. Celui-ci mit quelques secondes à réagir tant cela lui paraissait inconcevable. 

– Tu veux vraiment nous quitter ?
– On m’a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser.
– Mais on n’a personne pour te remplacer. Tu as combien de délai de préavis ? Deux mois ?
– Un seul.

J’avais relu de long en large la convention collective de l’entreprise la veille au soir et avait découvert qu’en tant qu’employé de moins de deux ans, et avec mon statut je n’avais pas les deux mois habituels. 

– Un mois ?!… Et si je te propose une augmentation de salaire ?
– Je croyais que l’entreprise avait gelé les augmentations ?
– Je peux m’arranger. Tu es à un poste clé sur nos produits, et on ne peut pas se permettre de te perdre.
– Désolé mais ma décision est prise.

Sur ces mots, je suis retourné à mon ordinateur pour exécuter mes taches. Une heure à peine plus tard, un email du bureau des ressources humaines me convoquait pour un entretien avec Amélie S. pour discuter de ma démission. La procédure habituelle dans une grande entreprise. 

En poussant la porte du bureau d’Amélie, je me demandais finalement si je n’allait pas rester. La jeune femme était magnifique. A peine une trentaine d’années, un chemisier blanc laissant deviner une poitrine raisonnable, une jupe arrivant au dessus du genou, et des yeux à faire bander un saint. 

Elle s’approcha de moi et me tendit la main. Aussi près, je pouvais sentir son parfum enivrant. Elle désigna une table située dans un coin de la pièce, et nous nous sommes assis. Sur la table, un dossier était ouvert, avec dessus une copie de ma lettre de démission. 

Elle me regarda quelques instants sans mot dire, puis me dit. 

– Pour chaque démission un des RH est censé rencontrer l’employé pour discuter des causes du départ. Est-ce qu’il y a des choses qui t’ont poussée à partir ?
– Pas vraiment, en fait si je part, c’est que l’on m’a proposé un autre poste ailleurs.
– Un poste mieux payé ?
– Entre autres.
– Bon très bien. La situation est délicate comme tu le sais. Tu es seul à un poste qui impacte une centaine de clients, et avec un seul mois de préavis, cela sera dur d’avoir un remplaçant à temps. Ton supérieur t’as proposé une augmentation de salaire. Est-ce que cela pourrait te retenir ?
– Non, comme je le disais, j’ai d’autres raisons de partir.
– Y a-t-il quoi que ce soit que je puisse te proposer pour te retenir ?

En entendant ces mots, je plongeais mes yeux dans les siens. Est-ce qu’elle sous entendait bien ce que j’imaginais ? Ou était ce une illusion de mon esprit pervers ?

Je déglutit difficilement sans répondre. Elle se pencha en avant, me donnant une vue plongeant dans le décolleté de son chemisier, et répéta sa question plus lentement. 

– Y a-t-il quoi que ce soit que je puisse faire pour te retenir ?

Mon regard ne quittait pas le trait creusé entre ses deux seins. Elle commença à déboutonner son chemisier, laissant apparaître sa poitrine dans un soutien gorge blanc, au bords à dentelles. 

Elle écarta sa chaise et poussa la chaise sur le côté, avant de s’agenouiller devant moi, entre mes jambes, les mains posées sur mes genoux. Elle me regardait, attendant peut être un signe pour l’encourager, ou l’arrêter, mais je ne bougeais pas. La situation était trop inattendue pour que je réagisse. 

Ses mains ont alors remonté jusqu’à ma ceinture, qu’elle a défait prestement, avant de descendre la braguette de mon jean. Elle a alors baissé les yeux sur mon boxer noir. Elle a commencé à caresser doucement ma verge en érection par dessus le tissu. 

Puis elle a passé deux doigts sous l’élastique pour libérer enfin le désir tangible que j’avais. Mon sexe se dressa aussitôt devant elle. Elle le dévora des yeux quelques seconde avant de le prendre en main. 

Le contact de ses doigts, froids mais doux, m’électrisa. Elle commença à faire monter et descendre sa main le long de mon sexe. Elle approcha sa bouche et déposa un baiser sur le bout de mon gland, avant de relever les yeux et observer ma réaction. 

Je lui fit un signe de tête pour l’encourager. Elle sortit alors sa langue pour goûter au fruit défendu, avant de l’enfourner complètement dans sa bouche. Sa main descendit caresser mes couilles alors que sa tête montait et descendait. Ses lèvres humides serrés sur mon sexe, sa langue caressant mon gland m’arrachèrent quelques gémissements. 

Je posais mes mains sur ses cheveux pour lui donner le bon rythme, et peut-être inconsciemment pour enfoncer mon sexe plus profondément. Elle comprit immédiatement mon geste et elle se força à engloutir plus mon sexe, et elle réussit à le prendre entièrement, ses lèvres arrivant à la base de mon sexe. 

Elle fit quelques va-et-vient ainsi avant de sortir ma verge de sa bouche. Elle se releva, puis me tourna le dos. Elle souleva alors sa jupe au niveau de ses hanches. Elle portait une culotte blanche, assortie à son soutien gorge.

Elle la fit glisser jusqu’au sol, révélant une des plus belles paires de fesses que j’ai vue. Rondes et fermes, à quelques centimètres de mon visage, je ne pu m’empêcher de poser les mains dessus et de les pétrir. 

Amélie me laissa faire puis me prit finalement les mains et recula comme pour s’asseoir sur mes genoux. Sauf qu’elle se pencha en avant me laissant entrevoir sa cul et sa chatte rasée et humide. D’une main, elle attrapa mon sexe et le pointa vers l’entrée de son sexe. Puis elle s’assit complètement sur moi, et ma verge entra complètement en elle. 

Elle fut surprise malgré tout et poussa un petit cri en me sentant la pénétrer. Puis elle se releva et se laissa retomber une fois. Puis deux. Puis trois. 

Je n’eus aucune difficultés à lui dégrafer son soutien gorge, et attrapai ses seins à pleine main. Parfois je pétrissais ses seins, parfois je pinçais ses tétons, accompagné à chaque fois d’un gémissement de sa part. 

Je commençais à ressentir la sensation qui précède l’orgasme, et le lui fit savoir. 

– Doucement… je ne vais pas tarder à…

Je voulais absolument qu’elle ralentisse pour en profiter le plus longtemps possible. Mais au lieu de ralentir, elle se releva presque complètement, mon sexe se retrouvant à l’air libre. Elle se pencha en avant à nouveau, attrapa mon sexe, elle cette fois ci, frotta mon gland contre sa rondelle. 

Puis elle remit le bout de mon sexe dans sa chatte, pour le lubrifier, et revint frotter son petit trou avec. Puis elle se rassit, tout doucement, tenant mon sexe en place. 

C’était la première fois que j’allais sodomiser une femme, mais je compris très vite pourquoi beaucoup d’hommes appréciaient cette pratique. Son cul était plus serré que son sexe et les sensations s’en retrouvaient décuplées. 

Centimètre après centimètre, elle était à nouveau assise sur moi, et ma queue se retrouva complètement plantée entre ses fesses. Mon excitation était à son paroxysme. 

Elle reprit ses va-et-vient, et bientôt, ses mouvements étaient tellement amples que mon sexe ressortait presque entièrement de son cul avant qu’elle se relaisse tomber entièrement. 

Finalement je ne pus plus retenir mon orgasme. Je l’attrapais par les hanches et la retins collée à moi, relevant mon bassin pour jouir au plus profond d’elle. Alors que je sentais mes jets lui remplir le cul, elle me caressa les couilles, et s’allongea sur moi. 

Lorsque enfin je relâchais mon emprise sur elle, elle se releva, puis se remit à genou et nettoya mon sexe, récupérant quelques gouttes de sperme. 

Une fois satisfaite, elle se releva, sa culotte à la main et me fit un sourire. 

– Alors ? Tu comptes toujours nous quitter ?

Que répondre à cela… 

Je travaille toujours dans cette entreprise, même si j’ai déposé ma démission plusieurs fois depuis. 

Proposée par LightAndMagic


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