Je devais avoir 13 ou 14 ans mais j’avais un camarade de classe plus âgé, A…, il avait eu un accident de mobylette assez grave. Cela l’avait immobilisé de longs mois et il marchait encore avec des béquilles. Je l’accompagnais chez lui, à la sortie de l’école, en portant son sac.
Un jour que nous faisions une pause sur un banc de jardin public situé sur notre chemin, il me montra une revue naturiste piquée à ses parents. A l’époque ( années 60 ) la censure était stricte et les systèmes pileux systématiquement gommés sur toutes les photos. Nous nous régalions donc en reluquant les nénettes en tenue d’Eve et nous esclaffions en admirant leurs seins : ceux tout petits des ados pré-pubères, ceux en poire des jeunes filles, ceux bien ronds et fermes des mères de famille et ceux en gants de toilette des mémés nudistes. Il me promit de me faire voir la collection complète de revues si je venais chez lui le jeudi suivant.
Je m’en souviens parfaitement. Nous étions fin juin, il faisait chaud, je portais une chemisette et un short. J’arrivai chez A. Ses parents étaient au travail et il avait baissé les persiennes pour éviter la grosse chaleur. Cela donnait un air intime à sa chambre. Il s’assit confortablement dans un fauteuil, la pile de revues sur les genoux, moi debout à côté de lui. Après une bonne demi-heure de rigolade, il posa les revues , ouvrit sa braguette et à ma grande stupéfaction, sortit son sexe en érection. J’étais médusé par la vue de cette queue superbe, certes pas très longue, à peine 13 ou 14 cm mais très droite, couverte par un gland parfaitement conique, et le fut de sa verge était bariolé de petites veines gonflées. Un vrai petit glaive planté dans une touffe épaisse de poils noirs tout bouclés.
Il me demanda de toucher sa queue. Je refusai mais il insista et je m’exécutai. Elle était très chaude et agréable au toucher; j’étais troublé, vraiment. Il m’ordonna d’en faire autant. Pas question, je refusai bien que bandant très fort d’excitation. Il me menaça tant et si bien que je finis par m’exécuter et sortis péniblement ma bite de mon slip kangourou. J’avais honte de moi, elle était longue, trop longue, courbe comme une banane, pas même décalottée, et mon bas-ventre présentait un petit duvet tout modeste. Si j’avais pu échanger ma bite contre la sienne, je n’aurais pas hésité une seule seconde tant j’adorais la sienne, bien plus que la mienne. Mais il ne ne moqua pas, me caressa, tripotant ma petite bourse, tirant sur mon prépuce pour découvrir mon gland rose bonbon. De sa main droite il s’astiquait avec ardeur tout en me tenant de sa main gauche. J’adorais ce contact, me sentir emprisonné sans sa main virile. Et soudain, à ma grande stupéfaction, je vis un petit flux surgir de son trou de bite, se répandre sur son gland puis couler le long de sa verge. Je ne savais pas, à l’époque, ce qu’était une éjaculation. J’étais troublé, terrifié, me sentant coupable malgré le côté agréable de son contact sur ma partie intime. Je rangeai mon matériel, un peu honteux de cette expérience. Deux jours plus tard, l’année scolaire finissait, je changeai d’établissement en septembre et nous ne nous revîmes pas. D’ailleurs j’oubliai cet épisode et l’enfouis tout au fond de mon subconscient.
Quelques décennies plus tard, je dormais d’un sommeil agité à côté de mon épouse légitime. Et dans mon rêve, je me revis à côté de mon camarade, le slip sur les chevilles, la queue dressée d’excitation. Mais cette fois ci A se montra plus entreprenant : il me caressa, me décalotta , tirant sur mon frein, me masturbant doucement , tendrement. Puis il appliqua sa langue sur mon gland, chatouillant mon trou de bite, léchant et humectant mon gland. Et soudain il me prit en bouche, je sentais la chaleur de sa salive irradier mon sexe, il me suça avec application, allant et venant, me titillant avec ses dents en se retirant, ce qui me créait une adorable douleur tout autour du gland. Sa main gauche emprisonnait ma bourse, son index flirtant avec ma rondelle de cul, ce qui me fit frissonner. Sa main droite tenait mon sexe devant puis dans sa bouche, comme pour empêcher toute fuite. J’étais intimidé, tétanisé de trouille mais en même temps pétrifié de plaisir. Il me masturba ainsi de longues minutes, patiemment, presque amoureusement jusqu’à ce que de gros frissons de plaisir me secouent de la tête aux pieds, me faisant chanceler d’émotion et de plaisir. Mais aucune goutte de sperme ne sortait de mon gland, ce n’est que quelques mois plus tard qu’enfin je pus éjaculer.
J’étais initié, j’avais goûté au plaisir suprême. Fou de reconnaissance, je me précipitai entre ses jambes écartées, saisissant son glaive dur et chaud, le suçant avec gourmandise, avec avidité, tournant ma langue avec entrain autour de son gland, l’avalant , le retirant, le ré avalant avec fougue. Tant et si bien que je sentis sa queue se gonfler encore davantage puis inonder ma bouche de son miel qui coulait contre mes joues, le long de mes gencives, envahissant ma langue et ma bouche. J’avalais sans vergogne ce miel et en savourai le goût suave et épais. A poussait des gémissements de plaisir tout en me caressant la tête. Ma langue poursuivait son nettoyage avec application, continuant de le pomper, extrayant et récupérant jusqu’à la dernière goutte de son sperme. J’étais son esclave, sa chienne, sa bête de sexe, son amant, sa chose, son vice, sa seconde queue…
Je me reculai satisfait du devoir accompli et pensant l’avoir satisfait et épuisé…mais non, il n’était pas rassasié. Me prenant pas les épaules, il me fit me tourner et me pencher, lui montrant mon cul dénudé de jeune éphèbe aux fesses blanches et grassouillettes. Je me laissai faire, anxieux mais aussi curieux d’en apprendre davantage. Il me posta derrière moi et je sentis sa queue brûlante et humide contre mon entre-jambe. Puis je sentis qu’elle remontait vers mon trou de balle. Il l’humecta de sa salive, pressant sa bite contre ma rondelle, d’abord doucement puis plus fermement. Je ne résistai pas, il agrippa mes hanches de ses deux mains, me tirant vers lui et m’empalant sur sa verge. Je le sentis forcer ma rondelle, pénétrer dans mon rectum et une terrible onde de sensualité sauvage me secoua. Mon maître, mon amant, mon initiateur, prends moi, jouis en moi, possède moi ! Déverse ton foutre en moi !
Et soudain, je me réveillai, la queue dressée, douloureuse tant mon érection était forte, les joues humectées de ma propre bave, le rectum douloureux d’excitation. Je me tournai alors vers le corps endormi de mon épouse, me frottant contre ses fesses que j’inondai de mon sperme quelques instants plus tard avec des images de folie dans les yeux. Elle ronchonna, pensant que son popotin m’avait excité au point de me faire jouir contre elle. Je ne lui révélai jamais la véritable raison de mon plaisir.
A, si tu te reconnais, contacte moi, j’ai du temps à rattraper et des regrets à effacer !
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