Au resto

J’arrive chez Stéphane en après-midi. Nous prévoyons aller manger dans un bon resto au centre-ville. Pour s’amuser et agrémenter la soirée, il me propose d’être l’allumeuse de service. En France vous diriez salope mais je n’aime pas du tout le terme.

Un peu surprise de sa proposition mais après quelques secondes de réflexions et plusieurs images en tête, j’accepte avec plaisir. J’aime aguicher les hommes, me sentir désirée, me sentir regardée par eux, sans être à leur merci. 

Donc première étape, je dois avoir une robe digne d’une allumeuse. Je compte bien allumer tous les hommes sur mon chemin ce soir. Stéphane sort ma belle robe noire qu’il m’avait offerte mais que j’avais laissée chez lui. Robe à laquelle j’ai un très beau souvenir que je vous ai raconté déjà. Elle est très courte. Elle cache à peine mes fesses et elle a un immense décolleté. Stéphane adore que mes seins soient accessibles à la vue des hommes… Et moi aussi d’ailleurs. Mes seins ne sont pas parfaitement ronds et fermes mais ils sont parfaitement naturels. Je les aime et les assume très bien. À l’idée que les hommes puissent voir le rebord de mes fesses en marchant sur le trottoir, nous allume tous les deux être excités au max. Il sort aussi le collier qu’il avait acheté avec la robe mais ne veut pas que je porte celui-ci. Il a une autre idée. Il ne manque que le collier, un string, de beaux souliers et des bas filets pour rehausser mes jambes. 

Nous allons donc à une boutique érotique près de chez lui. Je ne peux pas porter un bas de nylon ordinaire car on verrait le rebord. Je choisis donc un bas filet qui monte assez haut et qui ne comporte pas de culotte. Ce que je trouve facilement. Nous regardons pour un collier. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me propose ce genre de collier. Ils appellent ça un collier à seins. À première vue, il semble bien normal. Petite chaine bien travaillée, pas très longue et qui se termine par un joli serpent assorti d’une pierre. À la base du serpent, de chaque côté débute 2 nouvelles rangées de chaines délicates descendant beaucoup plus bas, sous les seins et qui remontent se rattacher à mes mamelons par un petit anneau en pastique ajustable. Pour les fixer, je dois me pincer un peu les bouts pour me faciliter l’installation. Stéphane place les anneaux en les poussant le plus possible à la base de mes seins avant de serrer pour que mes bouts soient les plus longs et le plus visible possible. En plus de pincer légèrement, sensation surprenante et très agréable, ça les gardent en érection et bien durs. Ce qui ne passera pas inaperçu dans la robe. Dans la même collection, nous trouvons un string bijoux. À mon pubis, 2 serpents tenant les cordons. À la base une jolie pierre bleu saphir et 2 chaines qui contournent ma chatte. Laissant mon petit minou à l’air libre. À l’arrière, à la rencontre des cordons, 2 autres serpents entremêlés les tiennent en place. Très joli. Nous poursuivons notre magasinage. Il me faut de jolis souliers pour aller avec la robe. Je me choisis une jolie paire de souliers noirs avec des lacets montant au mollet. Très hauts talons aiguilles pour faire ressortir mes mollets et allonger mes jambes. Nous terminons nos achats avec un bon parfum. Son odeur est presque aphrodisiaque. L’allumeuse est maintenant prête à s’amuser avec ces messieurs. 

En début de soirée, nous nous rendons dans un petit bistro rue St-Denis pour y prendre une première bouteille. L’ambiance est très ordinaire. Presque personne. Nous nous contentons de prendre le vin. L’heure de notre réservation arrive alors on se dirige à notre restaurant à un coin de rue de là. Lors de la réservation, il avait pris soin de demander une table retirée et être servi par un beau jeune homme. Stéphane enlève mon manteau et la placière nous dirige alors vers la dernière table dans un coin discret tel que demandé. Déjà je vois les hommes me regarder du coin de l’œil. À notre table, personne ni à côté, ni derrière Stéphane. Je suis dos au restaurant donc dos aux autres clients alors que lui peut voir partout. Les lumières sont tamisées à point. Voulant me refaire une beauté, je me lève et me dirige vers la salle de bain pour remettre un peu de rouge à lèvre. Pour aguicher mon homme, en me levant, je ne place pas l’arrière de ma robe pour qu’il voit mes fesses, qu’il adore. Rendu à l’autre table, je replace ma robe discrètement. Je sens toutes les têtes se retourner vers moi et j’aime ça. Stéphane doit regarder mes fesses se dandiner de gauche à droite et voir tous les hommes me regarder. Ça l’excite.

L’ambiance est parfaite. Comme de fait, le serveur est jeune, environ 22-23 ans et en plus il a une belle gueule. Il sera sûrement très très attentionné. J’exploiterai mon charme sur lui et ma robe fera le reste. Il a immédiatement vu mes mamelons bien durs, pointés à travers la robe et remarque les chaines qui remontent vers eux. Il se présente, Alexandre, et nous laisse quelques minutes avant de prendre la commande. Nous nous regardons longuement sans rien dire. Nous étudions le restaurant pour savoir que les les gens peuvent voir à notre table. En fin de compte, ils sont assez loin et l’éclairage est presqu’absent dans notre coin. Nous en profitons pour faire notre choix de repas et de vin. Peu de temps après, notre serveur revient. Je ne le vois pas arriver, ce qui me fait sursauter laissant tomber ma serviette à ses pieds. Par réflexe, je me penche rapidement pour la récupérer mais lui aussi se penche. Nos têtes se touchent presque et nos yeux se croisent. Il a les yeux d’un magnifique bleu. Il me plaît beaucoup et c’est sans aucun doute réciproque car dans cette position, il a une vue imprenable sur mon décolleter. Je vois ses yeux changer de direction. De cet angle, il voit mon sein gauche complètement sorti de la robe et suspendu dans le vide. Étant absorbée et amusée par la situation en le regardant rougir, saliver et me fixer sans bouger, je ne me rends pas compte que l’anneau s’est détaché de mon mamelon au même moment, laissant pendre un bout de ma chaine. Je fais semblant de rien pour qu’il croit que je ne sais pas que mon sein est complément à sa vue mais dès qu’il est sorti de la robe, j’ai très bien senti l’air climatisé s’y attaquer. Mon mamelon s’est endurci en un éclair à 30 centimètres de ses yeux. Il a dû voir chaque millimètre de mon aréole et de mon mamelon se plisser. Je fais l’innocente, ramasse ma serviette lentement et le laisse me regarder. J’aime son regard sur mon corps. Stéphane trouve la situation cocasse car il voit exactement la même chose. Je me relève et replace le décolleté en lui souriant. Stéphane lui demande alors :
– Et puis, Alex, tu as aimé ?
– Oui, beaucoup, avoue-t’il timidement. Il relance :
– Est-ce que je peux prendre votre commande madame ?
– Certainement, nous allons prendre la fondue chinoise pour deux SVP.
– Et pour le vin nous allons y aller avec la suggestion de votre sommelier et tu pourras nous l’emmener tout de suite, lance Stéphane. Du même coup il me regarde et me dit :
– En passant ma belle, tu as une chaine qui s’est détachée.

Je me penche dans mon décolleter et vois bien la chaine pendre. Alexandre est toujours à notre table. Je fais alors ma timide, je me retourne à peine comme pour me cacher mais il voit très bien tout de même. J’aime m’exhiber, surtout quand on apprécie le geste. Je prends alors mon sein de ma main gauche, tire bien mon mamelon en serrant bien l’anneau à sa base, replace la chaine et remet le tout sous la robe et me retourne innocemment. Stéphane et Alexandre ne me quittent pas des yeux. Je crois qu’ils ont bien aimé. Je m’amuse vraiment comme une folle. 

L’alcool fait déjà beaucoup effet et Stéphane ne se prive pas pour m’en donner. Tout au long du repas, à chaque fois qu’Alexandre vient à notre table pour apporter une nouvelle bouteille ou pour nous verser un verre, il ne fait que me dévisager de haut en bas. Je m’amuse à le voir saliver. Je suis très gentille avec lui. Je me penche à l’occasion lui permettant de mieux voir ou bien j’ouvre un peu plus le décolleté juste avant qu’il ne revienne. Stéphane est mon complice et m’avise des ses arrivées. Je vois même son excitation dans son pantalon et je ne me gêne pas pour lui regarder et passer des commentaires et en le complimentant sur la grosseur de sa bosse et que ça doit être agréable en bouche. Je suis très gourmande à ce niveau. J’aime bien que ma bouche soit bien remplie. 

– Tu aimes ça jouer à l’agace, hein ?
– Oh, oui j’aime ça. Vous êtes tellement drôle à voir. Vous perdez tous vos moyens.
– Voir tes mamelons étranglés par les anneaux, est très bandant.
– Sentir mes mamelons étranglés par les anneaux, est très excitant. Vous voir me regarder de la sorte l’est tout autant.

J’ai une bonne idée sur ce qu’Alexandre a bien pu dire aux autres employés car à plusieurs occasions Stéphane me dit voir d’autres serveurs et même les cuisiniers masculins regarder dans notre direction. Durant le repas, je me lève pour aller à la salle de bain, sachant très bien que tous les serveurs sont au courant de l’histoire, n’arrêteront pas de me regarder. Je me dandine les fesses discrètement, au grand plaisir de Stéphane. Pour aller à la salle de bain, je dois passer devant la cuisine puis tourner pour prendre un corridor isolé. Quand je m’y engage, j’entends les portes de la cuisine s’ouvrir. Je relève le bas de ma robe discrètement laissant voir au passage la moitié de mes fesses dénudées, au grand plaisir des cuisiniers et serveurs, que je peux entendre chuchoter. Quand je reviens, j’ai plein de sourires, de salut et même des mercis à mon passage. Je leur rends la politesse en disant que le plaisir est pour moi.

Le repas était tout simplement parfait et le vin exquis. En attendant le dessert, Stéphane me prend en photo dans ma robe sexy. Juste au moment de prendre la photo, je lui offre discrètement ma poitrine en les serrant entre mes bras pour en augmenter le volume.

– Wow ! Tu me rends complètement fou. Quel bel investissement cette robe et ce souper.

Au moment de payer la facture, alors que notre serveur est là, je demande à Stéphane de me prendre en photo avec Alexandre. Il se place derrière moi et s’accroupit un peu puisque je suis assise. Je prends ses deux mains pour qu’il m’enveloppe la taille et les déposent sur mon ventre. Je veux qu’il soit le plus près possible de moi pour la photo. Ayant la tête au dessus de mon épaule droite, ses yeux se fixent de nouveau sur ma poitrine. Il ne regarde que ça. J’aime qu’il me regarde de cette manière. Stéphane le surprend en le photographiant le visage dans mon décolleté. Il est très intimidé mais aussi très excité. C’est à ce moment que Stéphane lui dit :

– Tu aimes ses seins, non ?
– Ehh, oui ils sont très beaux.
– Tu rêves d’y toucher depuis des heures. Alors gâtes-toi jeune homme. C’est ta chance, vas-y, elle n’attend que ça.

Je suis un peu surprise de la proposition de mon homme mais l’idée me plait beaucoup. Voyant qu’il est hésitant, et que Stéphane n’est pas contre, je lui prends la main droite et la glisse doucement sous mon sein gauche. Il est figé. Sa main est elle aussi figée. Je la lui reprends et je la serre sur mon sein. Je veux qu’il me prenne le sein fermement. Il a maintenant la main pleine et j’en frissonne. Il sent très bien mon mamelon durci dans le creux sa main. Il va même jusqu’à me le pincer délicatement du bout des doigts avant de reprendre mon sein entièrement. Nous sourions et clic. Très belle photo.

À la sortie du restaurant, je vais voir Alexandre et l’invite à se joindre à nous pour la nuit. Il termine dans quelques minutes et il accepte l’offre. Ayant un peu trop bu, nous prenons un taxi pour le retour. Le chauffeur est un québécois et pas trop vieux, je dirais 40-45 ans maximum. Je m’assoie entre mes 2 mecs à l’arrière. Il fait froid ce soir et avec ma petite robe, je frissonnent de froid. Stéphane et Alexandre d’un commun accord commencent me caresser les cuisses tout en remontant tranquillement en s’arrêtant quelques minutes sur ma vulve qui s’enfle de plaisir. Je suis déjà mouillée. En voyant que le chauffeur voit tout dans son miroir, ça m’excite encore plus. Stéphane et Alexandre détachent mon manteau et ouvrent mon décolleter chacun de leur côté. Mes seins sont à nus et le chauffeur découvre alors mon collier s’attachant à mes mamelons. Je suis à la vue des 3 hommes. Mes mamelons se durcissent encore plus par l’excitation et le froid. Ils retirent les anneaux et en prennent chacun un dans leur bouche au grand plaisir du chauffeur qui ne sait plus ou regarder. Je lui demande alors s’il aimait ce qu’il voyait. Évidemment il confirme avec un signe de la tête. Il est bouche bé devant le beau spectacle. Je ne me reconnais plus. Je n’ai plus d’inhibition du tout. Je suis ivre et très excitée. J’ose même demander au chauffeur s’il voudrait voir mon joli petit cul. Encore une fois, un signe de tête qui en dit long. La chaleur augmente. Je retire mon manteau. Je me retourne et place mes fesses entre les 2 sièges avant pour que le chauffeur puisse voir et toucher. Durant ce temps, mes deux amants et complices, se sortent la queue. Une fois bien installée entre les 2 sièges et sentant que le chauffeur avait déjà commencé à me toucher, je me retourne vers l’arrière. Un grand sourire se dessine sur mon visage en voyant devant moi deux belles queues bien dures qui ne demandent pas mieux que de se faire sucer. J’avais bien deviné, Alexandre a une très longue queue (20cm) bien droite sur laquelle j’ai bien hâte de m’empaler. Stéphane a une queue plus courte (17cm) mais plus large et une belle courbe qui permet de rejoindre des endroits inexplorés. Je suis très gâtée. Pendant que j’en prends une en bouche, je branle l’autre. Le chauffeur lui se gâte en me flattant les fesses. Il est un peu timide et très délicat. Il se risque à introduire un doigt puis deux et même trois. Je plane tout simplement. Il se risque même à me titiller l’anus avec son petit doigt. Il est très habille. 

Rendu à destination, Stéphane paie le taxi. Comme pourboire, j’offre à notre chauffeur, une branlette ou de pouvoir me toucher les seins… Et puis pourquoi pas les deux finalement. Il est très excité par mes seins. Il les masse fermement comme j’aime, me pinçant les bouts encore durs. Ma main droite lui caresse les couilles délicatement tandis que ma main gauche lui saisie la queue et fait un va-et-vient très rapide. Je ne veux tout de même pas y passer la nuit. Il jouit en moins d’une minute en lâchant de très forts gémissements. J’ai la main pleine de son jus chaud. J’aime la chaleur et la texture du sperme. Un autre homme de comblé. 

Nous entrons, prenons chacun une douche et durant toute la nuit nous baisons tous les trois. Je suis en feu. Heureusement qu’ils sont deux à se relayer pour me satisfaire. Ce fût une nuit torride.

Proposée par Nath-qc


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