J’ai trompé mon mec

Je suis en couple depuis quelques années, j’ai un petit copain, je l’aime énormément et ce sentiment est réciproque, j’en suis certain. Cependant, je ne trouve pas le moyen de m’amuser, je n’ai jamais un moment de répit où je peux respirer comme bon me semble. Il me surveille comme si j’étais son enfant ou pire, comme si j’étais un chien qu’il doit dresser. Mais comme je l’adore, je l’accepte comme il est, car je ne crois pas qu’il est possible de changer une personne. (Chassez le naturel, il revient au galop.)

Je n’ai même pas en ma possession ma carte bleue, il gère également mes finances. Je crois que ma mère n’atteignait même pas ce niveau de surveillance accru. Lorsque nous sommes au restaurant, il compte mes calories dans mes plats. Mais ce qui m’énerve le plus, c’est qu’il agit de la sorte en public, ce qui est humiliant. Je suis un homme costaud, grand et jeune, et je me fais humilier devant des étrangers par mon copain, je peux voir la pitié dans leurs yeux. Donc voici le topo de ma relation : mon petit ami fait dans le genre castrateur !

Chaque année, la compagnie alloue un budget pour la formation de ses employés. Je n’avais jamais profité de ce bénéfice et après plusieurs années de service dans cette boîte, mon patron m’encourageait fortement à aller à la prochaine. Si je n’y étais jamais allé, c’est parce que c’était souvent des formations qui durent une semaine et mon copain déteste lorsque je découche. Mais cette fois-ci, il n’y avait pas d’autres issues possibles, je devais me rendre à cette formation, car c’était la volonté de mon patron, d’autant plus que les informations que j’allais y chercher seraient nécessaires à l’avancement de mes recherches. L’annonce de mon départ pour la semaine n’a pas été facile à accepter, par contre, en lui disant que ma présence était obligatoire, il ne pouvait refuser. Et moi, j’étais vraiment excité à l’idée d’être libre pendant une semaine entière.

Je prends l’autobus lundi matin, je suis le seul de ma division qui participe à cette formation. Je dormirai dans la même maison que d’autres employés de la société que je ne connais pas encore. Il me fait tellement plaisir de rencontrer en solo de nouveaux gens. Je me sens libre depuis le moment où j’ai mis le pied dans l’autobus. Je me dirige vers la maison pour déposer mes bagages illico avant d’aller à la salle de formation où tous les gens sont déjà. J’y rencontre mes colocataires pendant la pause. Deux hommes tout à fait craquants et inévitablement gays, tout comme moi, j’en suis certain. La journée se termine et nous retournons dans notre demeure. Je mange avec Marc et Louis, qui affirment ouvertement leur homosexualité. Je sais que je ne suis pas célibataire et que je ne dois pas fléchir devant la tentation d’expérimenter de nouveaux trucs (ou de nouveaux mecs), mais je ne peux même pas savoir si je me suis déjà amusé de la sorte depuis que je suis en couple. Ce qui n’est pas normal ! Aussitôt le repas terminé, je monte au deuxième, dans ma chambre où je compte me masturber pour éteindre mes envies d’infidélités…

J’entends les mecs qui parlent entre eux et en pensant à eux, je mets ma main sur mon jean, près de ma hampe. Je m’imagine ce qu’ils peuvent bien fabriquer lorsqu’ils sont seuls et plus les images déroulent dans ma tête, plus mon sexe se raffermit. Ça me fait du bien de me toucher en n’ayant pas peur de me faire réprimander, personne n’est ici pour me surveiller, enfin ! Je frotte mon membre sur le tissu de mon slip, je ne touche pas ma peau directement, mais avec ce mouvement, j’atteins le comble de la fermeté. Puis, j’entends des bruits qui viennent de la pièce voisine, je suis curieux alors je me rends dans la salle de bain. Les bruits font échos, alors je m’approche de la douche pour voir qui est à l’intérieur. Elle n’est pas en marche, mais j’entends tout de même un bourdonnement. Je vois que c’est Louis qui s’y cache. Je peux l’apercevoir à travers le ver dépoli de la porte. Il est seul et il se caresse également le froc. J’ouvre la porte. Il est si bronzé. Je remarque ceci, car je peux voir facilement la démarcation de son slip. Il se caresse le torse en me regardant d’un air cochon. Je ne sais pas ce que …


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