3 étudiantes lesbiennes

D’emblée, je tiens à vous préciser que je ne suis pas une pure lesbienne même si j’entretiens des relations régulières avec Mylène (à cause de sa famille, elle n’a pas voulu apparaître sur les photos). Elle et moi sommes inscrites à la fac de psychologie de… Mais chut ! Je n’en dirais pas plus au risque de voir de nombreux vicieux tourner autour de l’université dans l’espoir de nous rencontrer. Disons que c’est dans la moitié Sud de la France mais je n’en dirais pas plus.

Mylène était bisex, comme moi. De simples copines, nous sommes rapidement devenues complices. Il nous arrivait souvent de partager le même lit après avoir discuté une bonne partie de la nuit et qu’elle était trop fatiguée pour rentrer chez elle. Et puis, un soir, cela s’est fait… Je me souviens encore très bien de quelle manière. Alors que j’avais éteint la lumière depuis quelques minutes, je lui ai demandé : 

-« Tu dors ? » 

Elle m’a répondu : 

-« Non, et toi, à quoi tu penses ? » 

Mylène pensait à la même chose que moi. Nous étions juste en petite culotte dans mon lit et j’ai commencé à la caresser en lui demandant simplement : 

-« Tu aimes ce que je te fais ? » 

Peu de temps après, nous avions nos bouches collées et nos mains fiévreuses qui découvraient mutuellement nos corps. Voilà comment je suis devenue la maîtresse d’une adorable petite perverse qui, dès la première nuit, m’a agréablement étonnée par son manque de pudeur et son absence totale de tabou. Plus tard, Mylène m’a raconté qu’elle avait était en pensionnat chez les bonnes sœurs, un établissement très strict et que ses premières expériences homosexuelles datait du dortoir. Elles étaient plusieurs filles à s’offrir des petites séances de touche-pipi dès que la surveillante dormait. Elle m’a raconté aussi qu’elles s’amusaient avec des bougies qu’elles faisaient fondre les mouler, ensuite, en forme de godes. Depuis, je regrette de n’avoir jamais été interne. Et je me console avec toutes les histoires de Mylène qui m’excitent terriblement, chaque fois que je les écoute. Notre relation ne nous empêche pas de rencontrer des garçons. Elle plaît, je plais, et nous en profitons allègrement. Ce ne sont jamais des aventures sérieuses, ni trop longues. Nous avons des caractères très indépendants, toutes les deux. Il n’y a qu’entre nous que les choses durent. Un peu plus d’un an, à présent. 

À la fac, nous avons craqué toutes les deux pour une jolie blonde : Noémie. Beau visage, beau corps, beau cul, bien foutue côté nichons et un petit air de nymphette perverse et délurée qui laissait penser que la coquine se laisserait facilement tenter par une expérience au féminin. Mylène et moi rêvions d’un trio ou d’une petite partouze entre nanas. Nous avons donc approché notre charmante créature pour lier amitié avec elle. Un exposé nous a réunies, toutes les trois. Nous devions travailler des textes de Freud sur la technique de la psychanalyse. Nous nous sommes retrouvées toutes les trois, chez moi, un samedi après-midi.

Ce jour là, nous avions décidé, Mylène et moi, de débaucher la jolie Noémie et de l’initier à tous les plaisirs de Lesbos. Je n’aurais jamais cru, tout comme Mylène, que ce soit aussi facile. Noémie avait déjà goûté aux filles. De manière très chaste, sans pousser très loin les choses, mais l’idée de recommencer et d’en faire un peu plus lui avait souvent traversé l’esprit. Il ne lui avait manqué que les occasions de la concrétiser. Mylène et moi étions tout à fait disposées à lui faire découvrir nos secrets de femme. Nous avons commencé à la déshabiller, à l’embrasser et à la caresser alors que nous étions passées dans ma chambre. Noémie se laissait faire. On la sentait légèrement inquiète mais déjà excitée. Je lui ai retiré son soutien-gorge et j’ai découvert une jolie paire de seins, ronds et ferme. Mylène et moi avons concentré nos caresses, chacune sur l’un des beaux lobes, malaxant, léchant et suçant des pointes dures et érigées. Lorsque je lui ai ôté sa culotte, nous avons pu nous rendre compte que Noémie épilait complètement les lèvres de sa chatte. Ce petit détail nous prouvait bien que ce n’était qu’une petite vicieuse. Pendant que ma copine s’occupait toujours des seins de notre invitée, j’ai léché ce sexe lisse et doux et j’ai titillé le clitoris avant de plonger ma langue dans une chatte trempée qui ne demandait plus que ça. Noémie, cuisses écartées, n’arrêtait plus de gémir. Elle s’abandonnait …


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